Ma chanson d’un été avec la Rose des sables (2).
Après Ninja qui a partagé le souvenir d’une chanson d’amour aux accents italiens, voici deux chansons pleines de soleil et de liberté proposées par deux résidentes de la Rose des Sables.
Ne va pas pleurer pour cela.
Ninja partage à son tour sa chanson d’un été. Et nous voilà avec un peu d’Italie, beaucoup d’amour et une chanson à découvrir de Massimo Ranieri.
Ma chanson d’un été avec la Rose des sables (1).
Après « Here’s to you » de Joan Baez que nous présentait Martine et une comptine « en état d’ivresse » partagée par Marie, nous poursuivons notre série estivale, Ma chanson d’un été, avec les résidentes de la Rose des Sables qui plongent à leur tour dans ce jeu du souvenir.
Trois gros rats dans trois gros trous.
Après « Here’s to you » de Joan Baez que nous présentait Martine, nous changeons d’humeur avec la chanson de l’été 48 de Marie : une comptine en état d’ivresse.
Here’s to you a bercé l’été des 14 ans de Martine.
Première chanson de notre série « Ma Chanson d’un été ».
Dans l’été 1971 de Martine qui l’a passé au cœur du Pays de Caux, la chanson de Joan Baez a tourné en boucle.
La chemise d’homme dans tous ses états
De fil en aiguille et du coq à l’âne, Marie passe en revue les chemises d’hommes derrière lesquelles on devine une belle collection de torses et de personnalités plus ou moins viriles.
Vieillesse : le vent tournerait-il ?
La vieillesse est de plus en plus un sujet d’étude et de réflexion. Yvonne s’en réjouit. A la clé, n’est-ce pas la promesse d’une société plus inclusive pour ceux qui vivent longtemps ?
Nous n’irons plus au coin.
La polémique autour du principe éducatif « time out », une punition de mise à l’écart ramène Marie à son enfance. A-t-elle profité de ses mises au coin ? En tout cas, elle s’en souvient. Et c’est déjà bien.
La peur comme épouvantail
La peur est un ingrédient pratique pour qui veut gouverner son peuple sans perdre du temps à lui expliquer et à l’impliquer. La peur inhibe et rend frileux ! Le problème c’est que trop de peurs successives annihile l’impact attendu. Même plus peur….
Et si le suicide était une préoccupation de riche ?
Emplie de sa relecture du chef d’œuvre de Primo Levi, Si c’est un homme, H.L revisite le débat actuel sur la fin de vie.