
Et si le suicide était une préoccupation de riche ?
Emplie de sa relecture du chef d’œuvre de Primo Levi, Si c’est un homme, H.L revisite le débat actuel sur la fin de vie.
Premier mai.
Une première ministre qui résiste à la pression, des manifestations qui dégénèrent, un roi que l’on couronne : l’actualité vue à la télé décryptée par Isabelle.
La pauvreté encore et toujours là.
Ninja a été une petite fille pauvre. Aussi, lorsqu’elle entend que l’inflation et le nombre de familles aux fins de mois difficiles augmentent, elle s’inquiète et se souvient de ce que la pauvreté signifie pour un enfant.
L’eau, un commun qui s’évapore
Isabelle regarde surtout le monde à travers la télévision. Les affrontements entre militants écologistes et forces de police devant l’emplacement de la future bassine à Sainte-Soline l’a bouleversée.
Quand la bien-pensance devient censure.
Prévenir les stéréotypes notamment de genre en traquant les idées reçues et autres phrases toutes faites, c’est indispensable. Mais de là à re-écrire des œuvres éditées, voire d’en censurer des passages, c’est inquiétant. D’ailleurs, Marie tire la sonnette d’alarme.
La vieillesse : le bel âge ou pas.
Auto-proclamée porte-voix des vieux qui ne se résignent pas à vieillir dans l’oubli, la journaliste Laure Adler a écrit et réalisé un documentaire, diffusé en février dernier sur France 2, la Révolte des vieux. Marie l’a regardé avec trois amies et n’a pas été emballée.
Moi, j’aime les gens qui doutent !
Vive le doute, à l’heure des jugements à l’emporte-pièce par des spécialistes de rien. Et vive la modestie de ceux qui ne sont pas sûrs de ce qu’ils pensent car ils savent bien que rien n’est jamais coulé dans le marbre.
Dernières nouvelles de la planète
Pas facile de rester optimiste par les temps qui courent et l’actualité qui chancelle sous les mauvaises nouvelles. Marie convoque l’Ecclésiaste pour ne pas tirer le rideau.
Boire sans déchoir
Renoncer à boire de l’alcool en janvier pour vivre un « dry january (en français dans le texte : janvier sec) est une pratique qui se propage depuis une dizaine d’années et provient d’une campagne de santé publique anglaise pour lutter contre l’alcoolisme. Marie n’y souscrit pas.
Préférons l’erreur à la faute.
Sanctionner des fautes plutôt que souligner des erreurs produit une violence durable contre les enfants et plus tard, les adultes qu’ils deviennent. C’est l’avis d’Yvonne qui plaide pour une pédagogie positive et constructive. Et pour une réforme de l’enseignement. Tout un programme !